Données britanniques : la mort frappe davantage les vaccinés

Fait récent et unique : la Grande-Bretagne a rendu publiques les données de mortalité toute cause par statut vaccinal. L’analyse conclut que le taux de mortalité est supérieur chez les vaccinés Covid que chez les non-vaccinés, quelle que soit la tranche d’âge. La nature des données et le caractère de l’analyse rendent ces conclusions difficilement réfutables, et leur portée incommensurable.

Ce sont des conclusions qu’il va être difficile de réfuter. Dimanche 24 septembre, sur sa chaîne YouTube, le statisticien Pierre Chaillot a exposé sa reproduction d’une étude réalisée sur les données britanniques de mortalité en fonction du statut vaccinal. Et contrairement au narratif en vigueur, ce sont bien les vaccinés Covid qui meurent le plus.

L’analyse de Pierre Chaillot sur sa chaîne Décoder l’éco

De par la nature des données sur lesquelles elle s’appuie et son caractère immédiat, cette étude constitue un pas important dans la réunion de preuves autour de la dangerosité des vaccins Covid. Les autorités des pays vaccinateurs ont, en effet, soigneusement évité jusqu’ici de dévoiler des données facilement exploitables. Cette opacité a eu pour effet de compliquer le travail des statisticiens. Les fact-checkers autoproclamés ont ainsi pu s’attaquer à leurs travaux, au pire via des noms d’oiseaux, au mieux avec des débats méthodologiques inachevés et forcément incompréhensibles pour le quidam.

Or, cette étude a la particularité de s’appuyer sur des données relativement simples d’interprétation. Elle n’a donc pas besoin de compétences pointues ni de conjectures complexes. Finis les biais potentiels sur la saisonnalité, l’effet de moisson, l’abus de classification “mort avec Covid”, la morts vaccinés depuis moins de 2 semaines comptabilisés comme non-vaccinés etc. Pierre Chaillot explique même, dans sa vidéo, qu’il s’est attaché à utiliser les chiffres donnant le bénéfice du doute à la vaccination, ce qui ne suffit finalement pas à conclure en faveur de celle-ci.

Au vu des conclusions, la causalité entre vaccination et décès ne fait plus guère de doute. Et ce sont des nouvelles qui ont de quoi inquiéter.

Implications sanitaires

Les implications de ces conclusions sont multiples et forcément énormes.

Tout d’abord, il est désormais clair qu’il vaut mieux risquer de mourir du Covid que de mourir de son vaccin. La “mort avec Covid”, classification administrative dont l’abus a fait l’objet de nombreux témoignages, devient totalement secondaire.

Le lecteur qui admettra ici que l’information a été systématiquement biaisée pourra s’ouvrir à des traitements efficaces dont la littérature scientifique regorge

Faut-il avoir peur de perdre un traitement supposé contre le Covid ? Probablement pas, si vous n’avez pas de comorbidité. Les variant actuels du Covid sont beaucoup moins virulents que Delta. La létalité des variants en circulation est désormais d’un ordre de magnitude proche de celle de la grippe saisonnière, même avec les données exagérées de mortalité qui nous parviennent. D’autre part, le lecteur qui admettra ici que l’information a été biaisée, pourra s’ouvrir à des traitements efficaces dont la littérature scientifique regorge. Ce sont généralement ceux sur lesquels le camp du tout-vaccinal s’est acharné (exemple ici).

Le problème ne se situe en fait pas tant dans les risques liés à la contamination que dans les effets que la vaccination continue d’avoir. Car l’analyse montre clairement que la surmortalité s’inscrit dans la durée. Le taux de mortalité des vaccinés s’affiche en effet constamment au-dessus de leur part dans la population, de semaine en semaine (voir aussi l’étude originale). Qui plus est, les campagnes de vaccination s’accompagnent constamment de pics de mortalité, sur toutes les tranches d’âge, ce sur quoi Pierre Chaillot n’a eu de cesse d’alerter ces derniers mois.

D’autres signaux à éclaircir

Cette nouvelle est un signal d’alarme pour nos démocraties, les lanceurs d’alerte ayant été ostracisés alors même que les signaux négatifs s’amoncelaient (exemples ici ou ici).

L’épisode prolongé de surmortalité auquel nous assistons depuis la fin de la pandémie doit désormais faire l’objet d’explications claires, complètes et crédibles. Il est inconcevable que le taux de mortalité actuel dans les pays occidentaux, ne fasse pas l’objet de recherches plus sérieuses et d’explications. Peu médiatisé, il apparaît en effet supérieur à ce qu’il était pendant la crise Covid. Cette surmortalité, qui sévit à bas bruit, n’a pas attendu les épisodes caniculaires pour apparaître sur les radars des statisticiens. Elle n’a, en outre, pas épargné nos jeunes, et ne peut donc pas plus s’expliquer par le seul décalage des interventions hospitalières.

Au-delà de la mortalité, il conviendra également d’éclaircir les cas prétendus de Covid longs. Là encore, plusieurs témoignages nous sont parvenus de symptômes graves survenus après injection et ignorés autant par le corps médical que par les autorités. Il conviendra également de demander des comptes aux responsables qui ont, dans le même temps, confisqué la remontée des effets indésirables de la vaccination à la Patiente Vertriedung.

Comment peut-on désormais envisager faire passer nos concitoyens une nouvelle fois à la piqûre ?

La psychose autour du Covid doit cesser et laisser la place à un effort de vérité. Les conclusions de cette étude étant solides, elles nous ramènent aux autres travaux de Pierre Chaillot sur la mortalité Covid. En effet, ce statisticien n’a eu de cesse, ces dernières années, de croiser son champ de compétences avec celui des démographes et des médecins. C’est ce qui le distingue des autres statisticiens, journalistes et fact-checkers. Avec pour résultat une approche fine des chiffres… et des conclusions très étayées qui dérangent : la surmortalité pendant la crise du Covid aurait été exagérée, voire inventée (voir sa chaîne et notamment cette vidéo pour plus d’explications).

Enfin, selon nos informations, le gouvernement préparerait une prochaine campagne de vaccination. Un centre de vaccination serait même déjà prêt dans un centre commercial en marge de la capitale (voir photo). Comment peut-on désormais envisager faire passer nos concitoyens une nouvelle fois à la piqûre ?

Outre la recherche inévitable des responsabilités, il sera essentiel de réhabiliter les médecins et scientifiques qui ont été traînés dans la boue pendant toutes ces années. Pour ce qui nous concerne, cela commence donc par le Dr Benoît Ochs.

La charge de la preuve change désormais de camp et les fers de lance de la vaccination vont devoir s’expliquer.

Un centre de vaccination en préparation à Beggen

Un futur centre de vaccination, à Beggen, le 21 septembre 2023
Crédit photo : CG

Comment est-ce possible ?

La situation actuelle résulte de la combinaison de multiples facteurs qu’il est impossible d’énumérer exhaustivement ici.

En premier lieu, les données fournies l’ont été généralement de manière parcellaire, ou agrégées de telle manière que les croisements et correspondances étaient difficiles voire impossibles (voir les explications données dans l’analyse originale). De plus, les données étaient systématiquement biaisées (voir biais plus haut). Aucun gouvernement, jusqu’à présent, n’avait accédé aux demandes de divulgation des données détaillées. Les lanceurs d’alertes ont tous été, au mieux ignorés, au pire qualifiés de complotistes.

L’étude israëlienne ne regardait que la mortalité Covid

D’autre part, le monde a voulu croire aveuglément en une technologie prétendue éprouvée. Mais à quoi sert un traitement qui permet de produire une quasi-copie de la Spike virale si celle-ci induit une nocivité comparable ? C’est, parmi d’autres facteurs, ce qui inquiète dans plusieurs études (exemple ici). De plus, les études des producteurs des vaccins ont fait l’objet d’une certaine complaisance, alors que de nombreux biais étaient dénoncés depuis le début des campagnes. Se référer notamment aux travaux de notre compatriote Hervé Seligmann, qui dénonçait dès avril 20211 que l’étude israëlienne ne regardait que la mortalité Covid (identifiée qui plus est sur des critères obscurs). N’oublions pas, enfin, les jeux politiques et probablement de corruption dont chacun a désormais une première idée.

Tous ces facteurs constituent malheureusement un cocktail sociétal inquiétant, alors que l’OMS, organisation largement sous la tutelle d’intérêts privés, s’apprête à faire main basse sur la coordination planétaire des politiques de gestion des pandémies.

En tant qu’êtres humains, nous nous associons à la douleur de ceux qui souffrent ou ont eu à souffrir des effets vaccinaux et des politiques sanitaires Covid. Nous nous associons désormais à ceux qui se sentent désemparés face à ces nouvelles.

En tant que citoyens vigilants, nous ne saurions trop encourager nos concitoyens à actualiser leur compréhension de la situation et à se réinformer sur les canaux malheureusement dits “alternatifs” (voir p.ex. RéinfoCovid, ou Nexus qui annonçait dès 2019 une pandémie avec vaccination obligatoire). Car pendant que le monde qualifiait de charlatans et complotistes les médecins et scientifiques qui voulaient nous préserver du désastre, ces derniers (voir p.ex. World Council for Health) travaillaient pour valider les remèdes aux maux que nos gouvernants et Big Pharma viennent de créer.

C’est la seule lueur d’espoir de cet article.

VC


1 interview France Soir anciennement disponible sur https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/vaccination-en-israel-le-diable-est-dans-les-details