A l’occasion du débat public de la pétition 2044 contre le CovidCheck, qui a lieu ce mercredi 9 mars à 8h30, nous avons contacté Vera Sharav, survivante de l’holocauste, pour lui demander son regard sur les mesures “sanitaires” déployées en Europe et particulièrement au Grand-Duché.
Sa réponse tient dans une vidéo sans complaisance, qui tient dans un slogan Never again is now (“Plus jamais ça, c’est maintenant”), et dans laquelle Mme Sharav annonce d’entrée qu’en “tant que survivante de l’Holocauste, [elle] reconnaît les signes inquiétants d’une catastrophe imminente”.
Et de se livrer à une analyse sans complaisance sur ce que nous constatons et tentons, à notre échelle, de dénoncer depuis deux ans. Deux ans qui ont vu l’avènement d’une censure impitoyable, dans les médias et sur les réseaux sociaux, qui semble ne choquer personne. Deux ans qui ont permis de mettre en lumière l’absence totale de scrupules de la part de dirigeants occidentaux pour ce qui est d’avancer un agenda liberticide.
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L’analyse de Mme Sharav est loin d’être infondée, pour qui suit un tant soit peu les échanges au World Economic Forum ou a noté que M. Bill Gates est, via sa fondation, le deuxième plus gros financeur de l’OMS, auquel il contribue à hauteur de 10%.
Soulignons par ailleurs que l’OMS est actuellement engagée dans une initiative visant à faire signer aux pays un accord contraignant qui lui donnerait les coudées franches dans la gestion future des “pandémies” – dont on rappelle que la définition revue n’inclut aucun caractère de sévérité. Comme si nous n’avions pas assez de structures non démocratiques et corrompues pour nous dicter notre conduite.
En tout état de cause, une fois de plus lors d’un débat public, le Grand-Duché est le théâtre de discussions dont les enjeux le dépassent largement. C’est également la nature du message de Mme Sharav qui ne devrait pas non plus tarder à s’exporter. Souhaitons que sa parole soit entendue.
VC